Porto Covo se situe au sud-ouest du Portugal, dans la région de l'Alentejo. Elle a été entièrement reconstruite après le fameux tremblement de terre de 1755 par le marquis de Pombal. C'est pour cette raison qu'on ne sent pas le passage des époques ici et que les bâtisses semblent toutes sorties de terre d'un seul élan. Des maisons de pêcheurs pour la très grande majorité. L'intérêt principal de la bourgade est la proximité immédiate de magnifiques petites criques, vierges pour la plupart.
Difficile d'imaginer lorsqu'on est dans une des nombreuses criques de Porto Covo qu'on est le plus souvent à quelques dizaines de mètres seulement du centre-ville. Ici, sur la plus grande, Praia Gran, très peu d'équipements et une pureté intacte.
Buizinhos, une petite niche paradisiaque, juste au-dessous de la place du marché.
La crique de Banho, comme son nom l'indique, est idéale pour les bains à répétitions.
Cerca Nova, un peu plus loin du bourg (350 m), présente des possibilités d'escalade et de grottes plus intéressantes encore.
La crique d'Espingardeiro est la plus proche du bourg et, paradoxalement, la plus secrète. La préférée des jeunes aussi, car il faut une certaine souplesse pour y descendre.
Salto est (en principe) la seule crique naturiste de Porto Covo, mais elle est pratiquée par tout le monde en réalité.
La place centrale de Porto Covo est surtout fréquentée par les locaux. On est ici dans une bourgade de pêcheurs, loin de tout artifice. La simplicité de l'église en témoigne.
Simplicité des maisons de pêcheurs jusqu'à la place principale. Ici pas de signes extérieurs de richesse, sinon de richesse intérieure.
Aux alentours, on croise de nombreux animaux. Parmi ceux-là des migrateurs habituels.
Des animaux de compagnie habituels...
Et certains plus inhabituels.
Question végétation, beaucoup de chênes verts et de pins aux alentours.
Un peu au sud, l'île de Pessegueiro, recèle encore les vestiges de l'occupation carthaginoise.